Immobilier

08/10/24

Chien et immobilier : quand ces petits compagnons influencent la quête du logement idéal

À l'occasion de la journée mondiale des animaux, SeLoger et Ultra Premium Direct, acteur du marché de l’alimentation pour chiens et chats, révèlent à quel point vivre avec un chien influence la recherche immobilière.
 

L'évolution de la place des animaux de compagnie
La place des animaux de compagnie, en particulier celle des chiens, a considérablement évolué ces dernières années. Un phénomène de société appelé « pet-parentalité » est né il y a quelques années partout dans le monde, où les animaux sont désormais considérés comme des membres à part entière de la famille, à l’instar des enfants. Cette tendance se reflète jusque dans les choix immobiliers des « dog parents », prêts à faire de nombreuses concessions pour assurer le bien-être de leurs animaux.
 

Adapter son logement à son chien, un choix de plus en plus répandu
Seize pour cent des interrogés ont déjà déménagé pour un nouveau logement plus adapté à leur animal, que ce soit en termes de surface ou d'emplacement. Vingt-huit pour cent ont toujours choisi leur logement en fonction de leur chien. Six pour cent ont décidé de changer d’habitation pour adopter un chien.
 

Les dog parents privilégient des espaces plus grands que la moyenne des Français
Alors que la surface moyenne d’un bien en France est de 81 m², elle atteint 107 m² pour les propriétaires de chiens interrogés. Il semblerait que ces derniers vivent partout en France dans des logements plus grands en moyenne. Plus de six « dog parents » sur dix envisagent d’empiéter sur leur espace pour que leur chien ait le sien, et 17 % lui consacrent une pièce dédiée. Vingt-sept pour cent déclarent qu’avoir une plus grande pièce de vie est un critère prioritaire. Près d’un parent sur deux (49 %) se dit prêt à faire des travaux d’installation (niche, patio, clôture) pour que son chien se sente bien.
 

Les propriétaires de chien quittent les centres-villes pour offrir plus de confort à leurs chiens
Plus d’un maître sur deux (55 %) pourrait déménager à la campagne pour offrir un meilleur cadre de vie à son chien.